nom, prénom(s): lindsey alexa adams. emploi/études: des petits jobs par-ci par là, actuellement serveur dans un bar. argent: fille à papa dont elle profite de la richesse. date et lieu de naissance: vingt-six août mille neuf cent quatre six à new york. nationalité et origines: americaine de parents américains. situation amoureuse: célibataire qui ne prête pas d'attention à l'amour. orientation sexuelle: elle n'a toujours eu de l'attirance que pour les hommes, et pourtant... dieu que les femmes peuvent être belles. caractère: déterminée, spontanée, jalouse, dévouée, têtue, désordonnée, active, maladroite, curieuse, tête en l'air, empathique,

01. j'ai perdu ma mère à l'âge de 15 ans 02. je passe la plus part de mon temps en voyage, aussi bien pour le plaisir que pour l'humanitaire 03. j'ai 92 destinations différentes à mon actif 04. je suis engagée dans plusieurs associations également à New York 05. je participe à un maximum d'événement caritatif 06. je partage la quasi intégralité de mes voyages sur Intagram 07. je tiens également une chaîne youtube sur laquelle je publie des montages de mes voyages, notamment humanitaire, dans le but de sensibiliser les gens 08. j'ai un chien, un dogue de bordeau, que j'ai nommé Lincoln 09. j'adore les grands espaces, la nature, les animaux, aider mon prochain, profiter de la vie, faire une paddle, passer des heures sur Netflix, dormir à la belle étoile, le chocolat, les fraises, les serpents, passer du temps sur et dans l'eau, faire du sport, monter à cheval, voyager, m'amuser, faire du snowboard, ... 10. je déteste faire la cuisine, la politique, la discrimination, la racisme, la cruauté envers les humains et les animaux, les araignées, ne rien faire, le lait, les haricots verts, les orages, les espaces confinés, le slience complet, ...

Je suis née le 26 Août 1986 à New York dans une famille riche. Premier et unique enfant de la famille, j’ai grandi chérie par une mère avocate des affaires et un père PDG d’une société cotée en bourse. Très pris par leur travail, ils ont choisi de compenser leur absence en cédant aux moindres de mes désirs, faisant de moi au fil du temps une petite fille capricieuse. En grandissant cela ne s’améliorera pas et je devins ce qu’on peut appeler une petite peste d’adolescente. Crise d’adolescence, cliché de la populaire de l’école… Rien de très joli à raconter. Un soir, alors que j’étais âgée de 15 ans, la police est venue sonner au portail de notre villa. Quelques minutes plus tard mon père entrait dans ma chambre pour m’annoncer que ma mère venait d’avoir un accident de voiture et qu’elle était décédée. A la suite de cette nouvelle je me suis renfermée sur moi-même dans un premier temps, pendant que mon père, lui, s’enfermait dans le travail. C’était comme si j’avais perdu mes deux parents d’un coup. Alors pour attirer de nouveau l’attention de mon père sur moi, j’ai commencé à me laisser entraîner dans les travers des fêtes : nuit blanche, alcool, drogue. Mais malgré ça mon père ne réagissait… Jusqu’au jour où ayant le moral au plus bas, je n’ai pas fait attention à ma consommation et j’ai fait une overdose dont j’ai été sauvée de justesse. Cela a été le déclic pour mon père et pour moi. J’ai passé plusieurs jours à l’hôpital, j’ai dû subir un lavage d’estomac, j’ai eu un suivi psychologique même après ma sortie. J’ai promis à mon père et je me suis promise de ne jamais retoucher à la drogue. J’ai changé également totalement de comportement, prenant plus au sérieux l’école et décidant de retourner parmi les élèves normaux. A vrai dire, ma notoriété en avait pris en coup à l’école et j’ai dû faire profil bas un moment avant de pouvoir redevenir une personne lambda. Tous ses événements m’avaient fait réaliser à quel point la vie ne tenait qu’à un fil et chaque seconde était donc précieuse. Cela fit naître chez moi de nouveaux centres d’intérêts. J’accepta après l’obtention de mon diplôme du secondaire, de faire des études de marketing et management pour faire plaisir à mon père. Il voulait que je reprenne la tête de la société le jour où il prendrait sa retraite. Pour ma part j’avais envie de toutes autres choses, mais c’était le sacrifice de quelques années pour ensuite pouvoir faire tout ce que je voudrais. Une fois mon double diplôme en marketing et management obtenu, je m’offris, avec l’argent de mon père, un premier voyage. Durant ce dernier, je découvris de nouvelles cultures, des nouvelles habitudes de vies et je compris à quel point le monde était riche. Aussitôt revenu à New York, je repartis vers un nouveau pays et ainsi de suite. Un jour, lors d’un voyage dans un pays pauvre, je compris à quel point certaines populations étaient fragiles et que si personne ne leur venait en aide, ces populations disparaîtraient peut-être un jour. J’avais enfin trouvé un but : faire de l’humanitaire. Cela me permettrait à la fois de combler mes désirs de voyage mais aussi de me rendre utile. Aucun métier ne m’attirait vraiment à vrai dire, je me contentais de passer de petits boulots en petits boulots à chaque fois que je revenais aux Etats-Unis pour ne pas rien faire durant les quelques semaines/mois qui me séparaient de mon prochain voyage. Mon père accepta mon mode de vie. Il voyait que cela me rendait heureuse alors c’est tout ce qui comptait à ses yeux. L’argent que je dépensais en menant ce genre de vie et qui était en réalité en quasi-totalité le sien, lui importait peu. L’argent n’était pas un souci et mon bonheur était ce qui lui était le plus cher.

Je mène donc une vie un peu particulière, partager en voyage, humanitaire et petits boulots lorsque je suis à New York. Je vis toujours chez mon père malgré mes 31 ans, mais c’est cette vie qui me plait alors les préjugés m’importent peu.